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![1- LE ROU (M.). L’anti-Marat, ou, Défense de M. Necker, contre le soi-disant Ami du Peuple. [Paris], Imprimerie de Guillaume Junior, [déc. 1789]. 30 p. 2- [ESTIENNE (Antoine)]. Réflexions d’un Habitant du Fauxbourg Saint-Marceau [sic], pour servir de suite à la dénonciation du même Fauxbourg, à celui de Saint-Antoine. Paris, Imprimerie de Champigny, lib. rue Hautefeuille, n° 36, 1790. 7 p. 3- Un Aristocrate n’a pas le temps de jouer. [Paris], Imprimerie des Jacobins Saint-Honoré, [1790]. 7 p.](https://www.hatchuel.fr/wp-content/uploads/woocommerce-placeholder-300x300.png)
Adresse des Ligues Grisonnes, à l’Assemblée nationale, à la séance du 2 avril 1790.
(Paris, Baudouin, imprimeur de l'Assemblée nationale, 1790).
In-8, broché, couverture papier moderne, 4 p.
Edition originale et unique. Le “Journal des Etats Généraux” (vol. X, p. 97) rendait ainsi compte de cette “Adresse”: “A la lecture du procès-verbal de la séance de la veille, faite par M. de Beaujour, a succédé entre autres adresses, celle des Ligues Grisonnes. Ce peuple, reste de ceux de l’ancienne Rhétie, conserve, au sommet des Alpes, une démocratie pure & sa liberté: il donne les détails de sa constitution, & y retrouve, sous d’autres noms, nos municipalités, nos districts, nos départemens”. In fine: “En Grison, ce 11 mars 1790. Signé au nom de la Ligue Grise, de la Ligue Cadé, & de la Ligue des dix Droitures, par cinquante Représentans”. (Martin et Walter, IV, 791). Exemplaire très frais.
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