Revolution Francaise

Discours sur les assignats.

Dissertation sur le droit de convoquer les Etats-généraux, tirée des capitulaires, des ordonnances du royaume et des autres monumens de l’histoire de France.

Doléances sur les surcharges que les gens du peuple supportent en toute espèce d’impôts. Avec des observations historiques & politiques (…) & sur les moyens légitimes de soulager les Taillables, & de rétablir les finances, sans recourir à de nouveaux impôts.

Du droit de commander l’armée inhérent à la dignité royale. (AVEC ENVOI DE L’AUTEUR)

Du principe des factions en général, et de celles qui divisent la France.

Eloge de Montesquieu. Présenté à l’Académie de Bordeaux le 28 mars 1785. Publié avec une introduction par Arthur de Brézetz (…).

Éloge historique du général Marceau, mort de ses blessures à 27 ans, à Altenkirchen, le cinquième jour de l’an IV; lu à la séance publique de la Société philotechnique, le 20 vendémiaire de l’an VI.

Essai d’un citoyen.

Essai sur la liberté politique, ou Projet de constitution nationale.

Essai sur la propagation de la musique en France, sa conservation; et ses rapports avec le gouvernement.

Essai sur la propriété, ou Considérations morales et politiques sur la question de savoir s’il faut restituer aux émigrés les héritages dont ils ont été dépouillés durant le cours de la Révolution ; ouvrage où il est parlé de quelques-unes des causes qui préparent la chute des Etats, et surtout des Etats monarchiques.

Essai sur la réformation de la Société dite de Médecine.

Essais en vers et en prose. (UN DES SIX EXEMPLAIRES AVEC ENVOI AUTOGRAPHE)

Etat actuel de la France.

Etat exact des signatures, telles qu’elles se trouvent apposées à l’acte de protestation signifié à la commission intermédiaire des Etats de Dauphiné et à monseigneur l’archevêque de Vienne, président des États de la province, les 6 et 8 avril 1789, de la part de M. le comte de Mercy, agissant en vertu d’une procuration de MM. le marquis de Grammont, le marquis Dupuy-Montbrun et le comte de Flotte, lesquels se sont dits, dans l’acte de procuration, députés des deux premiers ordres du Dauphiné (…).

Etrennes au public.